La chanson la plus détestée de tous les parents, grands-parents, oncles et tantes est désormais inscrite dans les livres d’histoire. 122c2u
« Baby Shark » est devenue la première vidéo de l’histoire de YouTube à atteindre 10 milliards de vues.
Il a fait ses débuts en 2016 et est rapidement devenu une sensation virale parmi les enfants qui aimaient chanter les paroles faciles et faire les mouvements de danse des requins.
Selon Le gardien, au cours des cinq années qui ont suivi la sortie de « Baby Shark », on ne sait toujours pas qui est l’auteur original du Piste est.
La chanson était une comptine bien avant qu’elle ne soit enregistrée par la chanteuse américano-coréenne de 10 ans, Hope. Segoine pour la chanson de 2016.
La piste lui-même est dans le domaine public, mais il est devenu célèbre lorsqu’il a été publié par entreprise éducative Pinkfong. Il est d’abord devenu viral en Asie du Sud-Est, avant de se répandre dans le reste du monde.
Crédit : Pinkfong/YouTube
Il y aura sans aucun doute beaucoup de parents ou de tuteurs qui souhaiteraient que Pinkfong n’ait jamais sorti ce morceau, mais bon, nous y sommes.
Le morceau a déé «Despacito» de Luis Fonsi en 2020 en tant que vidéo YouTube la plus regardée, mais ce morceau classique reste toujours le clip le plus apprécié sur le site avec 47 millions contre 33 millions pour «Baby Shark».
Certaines des vues de « Baby Shark » proviennent d’endroits assez sombres.
D’anciens détenus d’une prison américaine ont intenté une action en justice contre leurs geôliers pour avoir répété la chanson de Pinkfong.
Crédit : Google Maps
Daniel Hedrick, Joseph ‘Joey’ Mitchell et John Basco ont intenté une action en justice pour droits civils en novembre de l’année dernière, deux ans après avoir été soumis à ce que leurs avocats ont décrit comme des « événements de torture » à la prison du comté d’Oklahoma, selon The Oklahoman.
L’action disciplinaire a eu lieu dans la salle de visite de la prison, où les prisonniers ont été obligés de se tenir debout, les mains menottées et attachées à un mur.
Deux anciens agents pénitentiaires et leur superviseur ont été inculpés de délits de cruauté envers un prisonnier et de complot, et un procès devant jury dans l’affaire pénale devrait avoir lieu en février.
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